À propos
de nous
de nous
Une mission, une passion, et beaucoup de motivation !
Notre mission
Aider à réguler et améliorer le marché de l'élevage.
Une conviction : mieux vaut réguler qu'interdire
Imaginez un monde où l'élevage est interdit. On pourrait penser que cela augmenterait les adoptions en refuge, et réduirait les abandons ?
À court terme, peut-être, mais la réalité est plus complexe.
Actuellement, on enregistre environ 700 000 nouveaux chiens par an, pour environ 50 000 chiens recueillis par les refuges : un ratio bien trop élevé, mais la demande reste malgré tout largement supérieure.
Or nous sommes réalistes quant à la nature humaine : lorsqu'il y a une forte demande, l'offre s'organise, même dans l'illégalité.
Conséquence : un marché clandestin où seul l'intérêt financier primerait se développerait inévitablement, entraînant des dérives systématiques encore plus destructrices qu'aujourd'hui : maltraitance animale, trafic de chiots en mauvaise santé et mal socialisés, entraînant irrémédiablement une hausse des abandons.
À court terme, peut-être, mais la réalité est plus complexe.
Actuellement, on enregistre environ 700 000 nouveaux chiens par an, pour environ 50 000 chiens recueillis par les refuges : un ratio bien trop élevé, mais la demande reste malgré tout largement supérieure.
Or nous sommes réalistes quant à la nature humaine : lorsqu'il y a une forte demande, l'offre s'organise, même dans l'illégalité.
Conséquence : un marché clandestin où seul l'intérêt financier primerait se développerait inévitablement, entraînant des dérives systématiques encore plus destructrices qu'aujourd'hui : maltraitance animale, trafic de chiots en mauvaise santé et mal socialisés, entraînant irrémédiablement une hausse des abandons.
Les éleveurs professionnels ont donc un rôle de régulation à jouer !
Des solutions : actions de l'Etat et initiatives privées
L'Etat reste frileux quant à la régulation du marché du chiot. L'interdiction (partielle) en animalerie est un pas en avant mais beaucoup reste à faire : ventes en foires, ventes par des particuliers sans certificat et sans matériel, vente en ligne sur des sites non spécialisés... la liste est longue.
Avec Whoof, nous souhaitons devenir un intermédiaire de confiance qui permet aux acquéreurs de ne pas se faire surprendre par de mauvais vendeurs, et donc avec des chiots présentant des troubles physiques ou comportementaux qui augmenteraient les risques d'abandon.
Nous aimons à croire que là où les associations luttent contre les symptômes de la maladie, nous tentons d'en éradiquer une partie de la source.
Avec Whoof, nous souhaitons devenir un intermédiaire de confiance qui permet aux acquéreurs de ne pas se faire surprendre par de mauvais vendeurs, et donc avec des chiots présentant des troubles physiques ou comportementaux qui augmenteraient les risques d'abandon.
Nous aimons à croire que là où les associations luttent contre les symptômes de la maladie, nous tentons d'en éradiquer une partie de la source.
Des méthodes différentes mais un intérêt commun : le bien-être animal.
Notre équipe
Petite mais costaude !
Mathieu
À l'origine du projet Whoof, Mathieu est web designer de métier avec plusieurs expériences entrepreneuriales. Cet amateur d'outdoor et de sport s'est passionné pour le monde canin depuis qu'il a adopté sa chienne Yuki en 2021. On peut donc dire que son toutou lui a changé la vie à plus d'un titre !
Thomas
Ancien juriste reconverti en développeur web, Thomas est la force tranquille de l'équipe, vrai stratège adepte des jeux de société. À la base dans la team 'Chats', le projet Whoof l'a séduit par son ambition et l'a projeté dans l'univers non moins formidable des toutous.
Yuki
Petite chienne Samsky, c'est la mascotte de Whoof sur les réseaux et une happiness manager hors-pair. Son seul défaut est sa gourmandise, une grosse part du budget de l'entreprise est dédié à ses croquettes et friandises. Mais son caractère sportif lui permet de manger sans culpabiliser !